La nouvelle Mercedes Classe A souffle un vent de fraicheur sur le segment
des citadines premiums, en apportant son expertise dans le domaine de la
berline de luxe et du coupé sport. En effet, plus que tout autre, le
constructeur à l’Etoile s’inspire de ce qu’il y a de mieux dans sa gamme
et l’intègre dans sa vedette aux dimensions urbaines.
Sous
ses airs de coupé sportback, la plus petite des Mercedes contraste avec
sa devancière typée monospace, dont elle reprend le patronyme. Elle joue
clairement la carte de la sportivité avec des codes inhabituels sur ce
marché, à l’image du bouclier avant aux ouvertures béantes ou du
pare-chocs arrière intégrant un diffuseur comme sur les modèles AMG.
Cette puissance affichée se retrouve également dans l’habitacle,
renforcée par la finition « Sport ». Depuis le siège baquet, le
conducteur est immergé dans un univers bien connu chez Mercedes, celui
du coupé de grand tourisme. La planche de bord donne le ton, avec cet
élégant et imposant panneau au revêtement simili carbone, où prennent
place les aérateurs ronds de la charismatique SLS. Les équipements
technologiques inattendus sur ce segment font oublier la vocation
citadine de la voiture.
En outre, dans sa version 250 Sport, la
Classe A brille d’abord par son agilité la rendant facile à conduire
dans les centres urbains les plus étriqués. Son pétillant quatre
cylindres suralimenté de 211 ch lui assure une énergie certaine en ville
et offre un plaisir de conduite plutôt typique des plus hauts segments.
Assis très bas à son volant, on se surprend à s’imaginer aux commandes
d’un coupé Classe C ou Classe E avec un agréable sentiment de
surclassement. La force de la Mercedes Classe A se situe là, dans sa
capacité à mettre au quotidien son propriétaire dans l’univers haut de
gamme d’une berline supérieure, malgré son encombrement de citadine
compacte.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire