Au
cours d’un après-midi singulier, à l’Ambassade de Suisse, je marchai
dans les jardins. J’attendis l’ouverture de la « Limelight Garden Party «
donnée par Piaget. Confortablement installé dans un rocking-chair, me
balançant comme mon fils le fait habituellement chez sa grand-mère, je
profitai de l’ombre pour regagner un tant soit peu mes forces. Et puis,
je m’assoupis.
Soudain, plongé dans mes rêves, je me retrouvai sur un trois mâts, perdu en pleine mer. J’étais capitaine. Avec mon équipage, nous tentions de vaincre une violente tempête. Après de nombreuses heures de lutte, les vagues cessèrent, le vent s’estompa, le calme s’invita dans notre aventure. Entre mes mains, je tins un parchemin sur lequel il était inscrit « Trouve la rose et tu la sauveras ». Incompréhensible message. Quel était le but de cette requête ?
Mon navire avança jusqu’au moment où un chant mélancolique et des notes grattées à la guitare vinrent jusqu’à moi. Attiré, je me penchai et je tombai à l’eau, j’étais bien. J’étais, me semble-t-il inconscient.
J’entendis le même son. Les notes de « La vie en rose » me réveillèrent. Une déesse aux cheveux longs bouclés et blonds était assise sur des rochers. A la peau dorée, presque nue, la demoiselle entonnait les paroles avec une voix marquée par la douleur du blues et le rythme du jazz. Mes yeux s’ouvrirent sur l’inconnue à la beauté fatale. Autour de son cou, un collier fait d’or blanc et de diamants brillait de mille feux. La pièce comportait environ quatre cent pierres mêlées à la calcédoine blanche. Les roses avaient éclos. Alors que ses doigts frottaient les cordes de son instrument, je remarquai sa bague empruntant à la fleur ses pétales. Le coucher de soleil accompagnait cette enchanteresse. Alors, les diamants dévoilèrent une brillance exceptionnelle. Pourquoi cette fleur s’invitait-elle sur le corps de la jeune femme ?
Et puis soudain, une vague vint frapper les rochers. Immergé sous l’eau durant quelques secondes, je repris rapidement mes esprits. Toujours là, imperturbable mais profondément triste, elle continua d’entonner les mots suivants : « Quand il me prend dans ses bras, il me parle tout bas, je vois la vie en rose ». J’aperçus sur sa peau, l’éclat d’un saphir bleu. Aussi sublime que la couleur de la mer, la pureté de la pierre accompagnait la beauté d’une rose composée de diamants. Son collier était diffèrent. Les multiples petites roses ne formaient plus qu’une seule. Je me suis approché de l’indigène, Je l’ai prise entre mes bras. « La vie en rose – par Piaget » apparut sur le sable. La mystérieuse créature était-elle sauvée ? A cet instant, le mot sur le parchemin prit à mes yeux tout son sens.
L’incroyable femme chuchota les dernières paroles en me regardant d’une troublante manière. Et puis, mon aventure se stoppa. Blotti dans le rocking-chair, j’entendis la même voix. Je me suis levé pour me rendre jusqu’au grand jardin. La douce femme aux boucles blondes, à la peau dorée et d’une beauté venue d’ailleurs entonnait la même chanson. Sans hésitation, je la reconnus. Elle portait le collier « Limelight Garden Party » dessiné par Piaget. Elle me regarda, me fixa avant de me sourire et disparaître quelques minutes plus tard… Qui était-elle ?
Soudain, plongé dans mes rêves, je me retrouvai sur un trois mâts, perdu en pleine mer. J’étais capitaine. Avec mon équipage, nous tentions de vaincre une violente tempête. Après de nombreuses heures de lutte, les vagues cessèrent, le vent s’estompa, le calme s’invita dans notre aventure. Entre mes mains, je tins un parchemin sur lequel il était inscrit « Trouve la rose et tu la sauveras ». Incompréhensible message. Quel était le but de cette requête ?
Mon navire avança jusqu’au moment où un chant mélancolique et des notes grattées à la guitare vinrent jusqu’à moi. Attiré, je me penchai et je tombai à l’eau, j’étais bien. J’étais, me semble-t-il inconscient.
J’entendis le même son. Les notes de « La vie en rose » me réveillèrent. Une déesse aux cheveux longs bouclés et blonds était assise sur des rochers. A la peau dorée, presque nue, la demoiselle entonnait les paroles avec une voix marquée par la douleur du blues et le rythme du jazz. Mes yeux s’ouvrirent sur l’inconnue à la beauté fatale. Autour de son cou, un collier fait d’or blanc et de diamants brillait de mille feux. La pièce comportait environ quatre cent pierres mêlées à la calcédoine blanche. Les roses avaient éclos. Alors que ses doigts frottaient les cordes de son instrument, je remarquai sa bague empruntant à la fleur ses pétales. Le coucher de soleil accompagnait cette enchanteresse. Alors, les diamants dévoilèrent une brillance exceptionnelle. Pourquoi cette fleur s’invitait-elle sur le corps de la jeune femme ?
Et puis soudain, une vague vint frapper les rochers. Immergé sous l’eau durant quelques secondes, je repris rapidement mes esprits. Toujours là, imperturbable mais profondément triste, elle continua d’entonner les mots suivants : « Quand il me prend dans ses bras, il me parle tout bas, je vois la vie en rose ». J’aperçus sur sa peau, l’éclat d’un saphir bleu. Aussi sublime que la couleur de la mer, la pureté de la pierre accompagnait la beauté d’une rose composée de diamants. Son collier était diffèrent. Les multiples petites roses ne formaient plus qu’une seule. Je me suis approché de l’indigène, Je l’ai prise entre mes bras. « La vie en rose – par Piaget » apparut sur le sable. La mystérieuse créature était-elle sauvée ? A cet instant, le mot sur le parchemin prit à mes yeux tout son sens.
L’incroyable femme chuchota les dernières paroles en me regardant d’une troublante manière. Et puis, mon aventure se stoppa. Blotti dans le rocking-chair, j’entendis la même voix. Je me suis levé pour me rendre jusqu’au grand jardin. La douce femme aux boucles blondes, à la peau dorée et d’une beauté venue d’ailleurs entonnait la même chanson. Sans hésitation, je la reconnus. Elle portait le collier « Limelight Garden Party » dessiné par Piaget. Elle me regarda, me fixa avant de me sourire et disparaître quelques minutes plus tard… Qui était-elle ?
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